Lard de Vivre

Par puydideesfresh octobre 26, 2017décembre 8, 2017 0

Romain Rebuisson a encore frappé ! Après le succès de son premier restaurant « Lard et la Manière » (rue des Minimes), le voilà qui récidive rue des Chaussetiers en reprenant l’ancien Bistrot Bancal devenu « Lard de Vivre ».

Cette nouvelle adresse fait la part belle à la cuisine latine ! Italie, Espagne mais aussi Amérique du Sud, le choix est cornélien devant la carte des gloutonneries.

Tataki de thon (♥), couteaux gratinés au chorizo, ris d’agneau, poulpe rôti, presa de porc ibérique, burrata, crème catalane ou encore tiramisu à la louche. Un vrai régal ! Un conseil, ne passez pas à côté des délicieuses pommes Dauphines maison mozza & romarin (♥♥). Autre spécialité de la maison : la parillada de viandes à partager ! Voici un petit extrait de la carte en images :

Formule Gloutonneries : 27€ (3 salées + 1 sucrée)

Tataki de thon chimichuri

Poulpe rôti à la galicienne

Morceau choisi par le «carnicero»

Ris d’agneau façon Lard de Vivre

Tiramisù limoncello «à la louche»

Smoothie kiwi basilic, cookie maison

Macaron myrtilles & châtaignes

Parillada de viandes : 50€ (900g pour 2 personnes)

Formule déjeuner : plat du jour 10€, entrée/plat ou plat/dessert 13€, complète 16€

salade César

Pièce du boucher et risotto aux cèpes

Brownie

La cuisine latine est vaste et comporte beaucoup de produits très intéressants. Si les origines italiennes du boss ressortent dans les plats, le concept s’inspire aussi des tendances de la capitale. Romain a ainsi voulu répondre à la curiosité de ses clients en leur proposant une cuisine basée sur le partage, avec de petites portions permettant de goûter à un maximum de plats.

Côté cave, là aussi le vin se veut latin et vous fera voyager. Chili, Argentine, Brésil, Italie… Une sélection proposée au verre, au pichet ou en bouteille (7 rouges, 4 blancs et 1 rosé), mais aussi les vins des copains (plus ludique, entre 25 et 30€ la bouteille) et enfin les bombes atomiques (haut de gamme, 60€). Gros coup de cœur pour le « Daimon » (vin blanc espagnol – Rioja) et pour la cuvée « Mon Oncle » (rouge, Languedoc dont 60% d’alicante bouschet).

Côté déco, là encore on ne change pas une équipe qui gagne : l’ambiance est 100% vintage !